Month: May 2019

Depuis de nombreux mois déjà, le Président américain souhaite augmenter les frais de douanes des produits exportés de la Chine. Une stratégie pour pousser les entreprises américaines de fabriquer leurs produits et composants sur le territoire américain. Après l’avoir annulé, il se pourrait bien que cette fameuse taxe Trump fasse son grand retour avec un impact important sur les iPhone.

Comme à son habitude, c’est sur le réseau social Twitter que le Président américain a renouvelé son souhait d’augmenter les droits de douane sur les produits importés de Chine. Celui-ci indique que les 10 % actuellement appliqués sur les produits hors haute technologie ne sont pas suffisants. Donald Trump annonce que ces 10% deviendront 25 % à partir du 10 mai 2019.

Selon lui, cette augmentation sera principalement supportée par la Chine et ne serait donc pas un « problème ». Il justifie sa décision sur le fait que la Chine tente de renégocier les accords commerciaux avec les États-Unis.

Pourtant, en mars dernier, le Président américain avait annoncé la suspension de cette fameuse taxe Trump étant donné que les négociations avec l’empire du Milieu étaient prometteuses. Une suspension à laquelle n’était pas étranger Tim Cook, le PDG d’Apple, et ses talents d’orateur. Mais cela n’aura pas suffi.

Un tweet aux conséquences directes pour Apple

Si cette taxe entre effectivement en vigueur, la Pomme pourrait considérablement augmenter le prix de ses iPhone vendus aux États-Unis, afin de compenser. Autre solution, Apple pourrait délocaliser la production de ses iPhone dans un autre pays, mais cela lui prendra beaucoup de temps, la taxe sera effective au moins sur les prochains iPhone. Reste encore à savoir si le Président américain ira jusqu’au bout.

En attendant et seulement quelques minutes après la publication du tweet de Trump, Apple a enregistré une perte de capitalisation de 30 milliards de dollars d’investisseurs.

Sur le marché des services de streaming musical, le géant du web Google n’aurait pas le même succès que ses concurrents Apple Music et Spotify. Un constat qui se fait alors que Google dispose de deux plateformes distinctes ; YouTube Music et Google Play Music.

À eux deux, ces deux services ne comptabilisent « que » 15 millions d’abonnés à travers le monde. On est bien loin des chiffres de Spotify et ses 100 millions d’utilisateurs payants – le double si on prend en compte les utilisateurs gratuits – et d’Apple Music qui comptabilise 50 millions d’abonnés payants, mais cela montre tout de même que les offres de Google ont trouvé preneur. Un succès qui s’est fait malgré la lenteur de Google à introduire des fonctionnalités très demandées sur ses plateformes.

Mais la firme de Mountain View ne compte pas s’arrêter là puisque Google prévoit de fusionner ses services. YouTube Music va d’abord croitre et proposer de nouvelles fonctionnalités inspirées de Google Play Music. Une fois que YouTube Music sera opérationnel au plus haut point, Google Play Music tirera sa révérence.

Comme ses concurrents, Google offre une période de tests à ses potentiels abonnés. Après quoi, l’abonnement à YouTube Music passe à 9,99 dollars par mois et à 14,99 dollars pour la formule familiale, soit les mêmes que ses principaux concurrents.

Une entreprise aérospatiale britannique a mis au point un nouveau type d’avion. Celui-ci pourrait voler grâce à la simple puissance de jets d’air capable de maintenir l’appareil dans les airs, mais aussi d’orienter sa trajectoire.

La société BAE Systems s’est associée avec l’Université de Manchester pour développeur le MAGMA. Sous ses faux airs de drone géant, cet appareil a de quoi révolutionner l’aérospatiale puisqu’il ne dispose d’aucun aileron. Pour prendre son envol et modifier sa trajectoire, il suffit d’ajuster la puissance des jets d’air qui le font voler.

Le MAGMA repose sur deux dispositifs principaux, le premier lui sert à se propulser dans les airs, dans l’axe d’oscillation transversal grâce à des jets d’air placés sous les ailes, à l’endroit habituel des ailerons. En modifiant la puissance des jets d’air sous les ailes, l’avion peut monter au descendre. Le second dispositif, le Fluidic Thrust Vectoring, sert plutôt à manœuvrer l’avion.

Cet appareil n’a pas pour objectif premier de remplacer les avions de transports de passagers. Il se destine plutôt à l’armée ou à la reconnaissance de territoires puisqu’il est plus silencieux et furtif que les avions traditionnels. Si les tests en conditions sont concluants, ce type de technologie pourrait alors se retrouver sur d’autres types d’avions.

Une façon d’augmenter les performances de son ordinateur est de booster le processeur graphique, ou GPU.

À l’instar du processeur, le processeur graphique vous permet de calculer tous les éléments qui seront affichés dans un jeu ou programme de montage vidéo, par exemple. La carte graphique est principalement définie par deux caractéristiques : la mémoire et sa fréquence de fonctionnement. Avant de passer à la caisse en s’achetant une nouvelle carte graphique, certaines astuces vous permettront de gagner quelques images par seconde dans le dernier jeu à la mode.

Les deux principaux fabricants de cartes graphiques que sont AMD et Nvidia proposent chacun un programme capable d’optimiser au mieux leur matériel. C’est en optimisant les pilotes et les paramètres de votre carte graphique que vous tirerez la pleine puissance de votre ordinateur. Pour ceux désireux d’aller un peu plus loin, l’overclocking est une option valable, même s’il faut agir avec prudence et surveiller la température de votre carte.

Optimiser les cartes AMD

C’est avec AMD Pro Control Center que vous pourrez pousser les performances de votre processeur graphique. Tous les paramètres sont modifiables et il vous permettra de vérifier si vos drivers sont d’actualités, et de les mettre à jour dans le cas contraire. C’est surtout la partie « overclocking » qui vous fera gagner des images par secondes. Vous pourrez modifier directement la fréquence de votre carte, tout en surveillant la température et l’horloge de celle-ci en temps réel.

Optimiser les cartes Nvidia

De son côté, le principal fabricant de cartes graphiques facilite grandement la vie de ses utilisateurs avec le Nvidia GeForce Experience. Le programme se connecte automatiquement aux serveurs de Nvidia, et règle automatiquement les paramètres pour votre ordinateur, pour chaque jeu, et met automatiquement les drivers à jour. Différentes configurations sont disponibles, en fonction du rapport performance/consommation que vous souhaitez utiliser.

MSI Afterburner

Un programme qu’on ne présente plus en ce qui concerne l’overclocking des cartes graphiques MSI. Il permet d’effectuer un réglage fin des voltages du cœur et de la mémoire de votre carte, ainsi que le contrôle de la vitesse des ventilateurs de celle-ci. Petit plus, le programme est accompagné d’un benchmark qui vous permettra de tester vos modifications directement dans le programme. Côté monitoring, vous aurez accès à toutes les données concernant la fréquence de l’horloge, des shaders, de la température du GPU, de l’état de sa mémoire ainsi que de son usage.

Les ordinateurs et cartes graphiques ayant des caractéristiques différentes, il est impossible de détailler la procédure d’overclocking au cas par cas. Gardez toute de même à l’esprit qu’il s’agit d’un procédé qui nécessite un minimum de recherche et de prudence.

Vous trouvez les thèmes de Windows 10 trop classiques, trop limités ? Pas de panique, Rainmeter vous permet de laisser libre cours à votre imagination, pour peu que vous ayez déjà quelques bases en informatique.

Rainmeter est un logiciel qui permet d’appliquer des thèmes différents à Windows. Ces thèmes sont appelés skins. Les skins vont du plus simple au plus surchargé. Et comme Rainmeter fonctionne avec des gadgets, c’est-à-dire des petits widgets positionnables à l’envie sur le bureau, vous pouvez choisir de tout installer, ou d’en n’installer qu’une partie. A vous de choisir, et de vous faire un bureau sur mesure avec vos raccourcis favoris.

En dehors du côté design à la carte, c’est très pratique de pouvoir ne garder que le minimum sur le bureau, pour s’y retrouver rapidement. Rainmeter est en somme moins rigide que ne l’est Windows quand il est question de personnalisation de l’interface. Pour se le procurer, rien de plus simple, il suffit de le télécharger depuis le site officiel. A la fin de l’installation, vous pouvez choisir de l’ouvrir automatiquement à chaque démarrage de Windows, pour que tous vos gadgets apparaissent directement. Sinon, vous devrez manuellement les activer à chaque fois ce qui perd un peu de son intérêt.

Rainmeter s’ouvre d’office avec quelques gadgets par défaut. A vous de voir s’ils vous intéressent ou non. Si vous en voulez d’autres, vous pouvez soit les créer vous-même en codant (utilisateurs experts seulement) ou bien en télécharger de nouveaux sur des sites come DevianArt. Des centaines de skins, gadgets, fond d’écrans sont disponibles, rendant les possibilités de personnalisation virtuellement illimitées. Autre fonctionnalité sympathique, certains skins sont animés, ce qui rend le bureau plus vivant.

Bien entendu, plus le skin comporte d’éléments plus il consommera des ressources système. Mais globalement, Rainmeter est très léger et n’affectera en rien les performances de votre ordinateur, à moins qu’il date d’il y a plus de dix ans. Prenez en compte au moment de télécharger des skins que certains ne fonctionneront que sous Windows 10, tandis que d’autres seront compatibles avec des versions antérieurs. Et faites évidemment attention au site sur lequel vous téléchargez, pour ne pas infecter votre machine. Bonne personnalisation !

Votre PC est trop lent ? Il ne tourne plus comme aux premiers jours ? Quelques techniques vous permettent d’augmenter la puissance de votre processeur sans vous faire mal au porte-feuille.

Overclocker le CPU

Une des manières les plus efficaces, mais aussi risquées pour augmenter la puissance de votre processeur (CPU) est d’avoir recours à l’overclocking (ou surcadençage). Cette technique permet d’augmenter la fréquence maximum de votre processeur. Au plus la fréquence est élevée, au plus le nombre d’opérations par secondes sera élevé, diminuant ainsi le temps nécessaire aux opérations : votre PC sera plus rapide.

Il faut toutefois augmenter la fréquence avec parcimonie, puisqu’une fréquence plus élevée augmente aussi la chaleur dégagée par le processeur, ce qui pourrait endommager votre matériel. On conseille en général de se limiter à une augmentation de 10%. De plus, il faut procéder par palier, de manière à vérifier à chaque redémarrage si le système est stable.

Certains ordinateurs ont un système de refroidissement plus performant que d’autres, il faut donc vérifier la température du système pendant des opérations lourdes (jeux, montage vidéo, benchmark) pour connaître la température du processeur lorsqu’il est utilisé à plein régime pendant plusieurs minutes. La température maximale dépend des modèles et des constructeurs, mais il ne faut en général pas dépasser 80°c, la plupart des processeurs ont d’ailleurs un système d’urgence qui coupe directement l’alimentation si une température trop élevée est atteinte.

Pour l’overclocking, des programmes de gestion de la température comme ZFan ou SpeedFan sont indispensables. Ils affichent la température de chaque cœur du processeur, et permettent de régler la vitesse de rotation des ventilateurs. L’overclocking est donc déconseillé pour les ordinateurs portables, qui ont souvent plus de mal à évacuer la chaleur.

Si l’overclocking était réservé à une niche d’utilisateurs expérimentés il y a dix ans, les constructeurs ont depuis augmenté les protections et solutions logicielles pour permettre à tout un chacun d’en profiter, en restant raisonnable bien entendu.

Pour augmenter la fréquence de votre processeur, il faut se rendre dans le BIOS, le programme élémentaire de la carte mère de l’ordinateur, on y accède dans la plupart des systèmes en restant appuyé sur la touche F2 au démarrage de l’ordinateur. Une fois dans le BIOS, cherchez la ligne CPU Vcore, c’est ici que vous entrerez la nouvelle valeur. Il est indispensable de faire des recherches avant de toucher à quoi que ce soit, les possibilités étant différentes pour chaque configuration.

Overclocker le GPU

Le principe est le même pour le processeur de votre carte graphique, le GPU. L’overclocking se fait en général via l’application du constructeur, mais cette option n’est disponible que pour les cartes graphiques milieu/haut de gamme. Le programme de configuration de votre carte graphique est normalement installé par défaut, dans le cas contraire, il est possible de le trouver en mettant à jour les drivers de votre carte graphique. Comme pour le processeur, on vous conseille de modifier la fréquence de votre GPU avec parcimonie, en procédant par palier, en vérifiant à chaque fois si le système est stable, et si les températures ne s’envolent pas.

Modifier la fréquence dans les options d’alimentation

Windows permet de modifier la fréquence minimale à laquelle tourne le processeur. Rendez-vous dans le panneau de configuration, puis dans les options d’alimentations, ensuite cherchez la ligne « état minimal du processeur » dans les paramètres avancés. En changeant cette valeur à 100%, votre processeur tournera constamment à plein régime, augmentant ainsi sa rapidité pour les tâches quotidiennes.

À noter que ce changement pourrait avoir une incidence négative sur la consommation électrique de votre système, le changement sera surtout visible pour les ordinateurs portables fonctionnant sur batterie.

Augmenter la priorité du CPU pour une application

Sous Windows, il est possible de changer la quantité de puissance de calcul que le système alloue à chaque application. En modifiant la priorité d’une application, vous améliorerez les performances de celle-ci. Pour cela, il faut se rendre dans le gestionnaire de tâche en appuyant sur Ctrl+Alt+Del ou en faisant un clic droit sur la barre des tâches de Windows. Une fois dans le gestionnaire des tâches, faites un clic droit sur l’application que vous voulez booster dans la liste des applications, cliquez ensuite sur « aller dans le processus ». C’est dans cette fenêtre que vous allez modifier la priorité, toujours en faisant un clic droit sur le processus en question : cliquez sur « Définir la priorité » puis choisissez l’option « temps réel » qui permet d’allouer le maximum de puissance de calcul à ce processus.

Le service de streaming musical le plus populaire au monde intègre bon nombre de fonctionnalités pour profiter au mieux de ses morceaux préférés. Des fonctionnalités simples, logiques, mais Spotify regorge également de raccourcis et possibilités plus ou moins cachées. Petit tour d’horizon.

Sauvegarder automatiquement ses Shazam dans Spotify

Vous entendez un excellent morceau à la radio, vous dégainez alors votre smartphone et la « shazamez » afin de l’identifier. Mais vous pouvez aussi l’enregistrer directement dans votre bibliothèque Spotify.

Pour ce faire, rien de plus simple. Il faudra tout d’abord lier vos comptes Shazam et Spotify. Pour cela, direction les paramètres de Shazam, l’écrou sur l’application depuis votre page personnelle. Sur ce nouveau menu, il suffit de cliquer sur « se connecter » à côté de Spotify. Vos deux comptes seront alors connectés.

Enfin, après avoir fait identifier un morceau par Shazam, celui-ci sera automatiquement enregistré sur Spotify. Direction « Mes titres Shazam » sur le service de streaming pour le retrouver.

Sauvegarder vos discovery weekly

Spotify propose à ses abonnés de découvrir des nouveaux morceaux chaque semaine. De quoi renouveler et agrandir ses artistes préférés. Le souci est que cette playlist change effectivement toutes les semaines, il est donc facile de perdre un morceau qui nous plaisait. Pourtant il est possible de sauvegarder les « Discovery Weekly ». Pour rappel, la playlist “Découvertes de la semaine” s’inspire de votre historique d’écoute ainsi que de ceux d’utilisateurs aux goûts similaires aux vôtres. À force des écoutes, Spotify recadre ses propositions de musiques pour correspondre au mieux à vos goûts et vous proposer de nouvelles chansons susceptibles de vous plaire.

La liste d’une trentaine de sons change tous les lundis, il est donc recommandé de sauvegarder la playlist avant ce jour. Pour cela, vous pouvez ajouter un à un les titres à une playlist que vous avez créée ou passer par un autre service très simple : IFTTT. Ce site Internet propose de réaliser quelques actions à votre place très simple.

Il vous suffit de lier votre compte Spotify et votre compte IFTTT et de lui demander d’enregistrer vos découvertes de la semaine dans votre bibliothèque. Vous pourrez ainsi vous souvenir des nouvelles musiques et artistes découverts grâce à Spotify.

Récupérer une playlist supprimée

Une mauvaise manipulation et votre playlist préférée est supprimée. Pas de soucis, Spotify vous permet de la récupérer très facilement. Connectez-vous à votre page Compte et cliquez sur Restaurer mes playlists. C’est aussi simple que ça. Votre playlist réapparaitra dans votre bibliothèque.

Sur Mac ou PC, vous pouvez également annuler votre dernière action. Sur Mac, maintenez sur CTRL et Z, sur PC, appuyez sur CTRL, Shift et Z.

Créer une playlist collaborative avec vos amis

Vos amis sont de bons conseils en termes de découvertes musicales ? Vos proches vous demandent toujours les nouveautés du moment ? Penser à créer une playlist collaborative afin de partager vos morceaux du moment ou de découvrir la musique de vos amis. Grâce à cette playlist, chacun peut ajouter des chansons et agrandir sa bibliothèque.

Sur ordinateur, direction le volet de gauche et cliquez droit sur une playlist. Sélectionnez ensuite « Playlist collaborative ». Un symbole rond devrait apparaitre à côté de celle-ci, affichant que votre playlist est ouverte à vos amis. À vous et à vos proches de rajouter des morceaux.

Sur smartphone et tablette, direction votre bibliothèque. Appuyez ensuite sur Playlists et sélectionnez celle que vous voulez partager avec vos amis. Pour cela, dirigez-vous sur les trois petits points.

Vous pouvez également créer une toute nouvelle playlist spécialement à destination de vos amis. Il est également possible de rajouter une petite description à celle-ci.

Enfin, il vous suffit de partager cette playlist sur les réseaux sociaux ou directement à vos amis en cliquant droit et sélectionnant « partager ». Ceux-ci pourront dès lors y avoir accès et contribuer.

Spotify running pour courir au rythme de ses musiques

Il y a encore quelques mois, le service de streaming musical Spotify proposait une fonctionnalité très intéressante pour les coureurs : Spotify Running. Une fonctionnalité qui permettait de faire correspondre le tempo des playlists avec le rythme de course. L’application analysait le BPM, les battements par minute du coureur, et faisait correspondre le tempo des musiques avec cette information.

Aujourd’hui, ce service n’existe plus à proprement parler, mais il est toujours possible d’écouter les playlists adaptées en fonction d’un BPM particulier. Il vous suffit de faire une recherche « running » ou « course », vous verrez ainsi une multitude de playlists prévues pour la course et choisir en fonction de votre BPM. Il faudra cependant trouver cette information sur une autre application.

Il existe également d’autres playlists spécialement conçues pour le running. Vous pouvez ainsi profiter de morceaux rassemblés par genre et qui collent parfaitement au jogging.

Ajouter des crossfades entre les titres

Afin de profiter d’un moment d’écoute optimal, il est possible d’éviter les temps de blancs entre deux morceaux. Il suffit de faire enchainer les morceaux plus rapidement, on parle aussi de fondu enchainé ou crossfade.

Pour cela, dirigez-vous sur la petite flèche en haut à droite et sélectionnez « Préférences ». En bas du menu, cliquez sur « Afficher les paramètres avancés », puis « Lecture » et activez « Fondu enchaîné ».

Vous pouvez décider de la longueur des fondus souhaitée en déplaçant le curseur.

Sur smartphone, direction « Accueil » puis votre bibliothèque. Cliquez ensuite sur Paramètres et puis sur « Fondu enchainé » et le tour est joué.

Ajouter un morceau sur votre blog ou site

Il est possible d’intégrer des morceaux sur un site ou sur un blog, histoire de proposer à ses visiteurs d’écouter l’un ou l’autre titre. Au-delà des partages basiques, vous pouvez ajouter un lien sur votre page qui renverra les internautes à Spotify ou sera directement écoutable sur votre site.

Pour cela, il suffit de faire un clic droit sur la musique en question et d’aller dans « Partager ». Vous verrez ainsi plusieurs propositions ; “copier le lien vers le titre“, “copier le lien embed”, “copier le lien URI Spotify”. À vous de choisir l’option que vous préférez et le coller sur votre blog.

Choisir la qualité du son

Afin de profiter au maximum de ses morceaux favoris, il est possible de les écouter avec une qualité de son plus grande. Pour cela, il suffit de se rendre une nouvelle fois dans les préférences de Spotify et de sélectionner la qualité du streaming musical « haute » ou « exceptionnelle ».

À noter que les qualités équivalent à un débit de 96 kbits/s pour la version standard. Une option intéressante lorsque l’on a un abonnement mobile limité. Pour la haute qualité, comptez 160 kbits/s et 320 kbits/s pour une qualité de son exceptionnelle. À vous de voir ce que vous préférez, en faisant attention à son forfait. Malheureusement, l’option n’est disponible que pour les abonnés Premium.

Importer ses propres morceaux dans spotify

Spotify permet à ses utilisateurs d’importer les morceaux qu’ils ont déjà sur leur ordinateur, tablette ou smartphone. Un excellent moyen de centraliser toutes ses musiques sans devoir les retélécharger forcément. Pour cela, rendez-vous dans les préférences de l’application Spofity. Dans le menu, direction « Fichiers locaux » où vous pourrez ajouter une source pour importer de nouvelles chansons à votre bibliothèque.

Il vous suffira alors de survoler les documents de votre ordinateur afin de sélectionner les bons fichiers ainsi que les dossiers renfermant toutes vos musiques. Vous retrouverez ensuite ces morceaux directement dans votre bibliothèque Spotify, dans « Fichiers locaux ». À vous, dès lors, de les réorganiser dans une nouvelle playlist.

Importer une playlist dans Spotify

Vous avez déjà organisé une longue playlist sur un autre service ? Vous pouvez l’importer tel quel sur Spotify en faisant appel à un convertisseur de playlists. En effet, vous pouvez passer par un site tiers pour convertir votre Playlist Apple Music sur Spotify, par exemple.

Vous pouvez vous rendre sur Soundiiz, un site de convertisseur de playlists gratuit et très bien conçu. Vous devez simplement créer un compte sur ce site et cliquer sur les services musicaux que vous utilisez. Après vous êtes connecté, vous verrez apparaitre vos playlists. Ensuite, vous devrez ensuite sélectionner celle que vous voulez convertir sur Spotify. À noter que seuls les utilisateurs Premium peuvent convertir plusieurs playlists à la fois.

Ainsi, vos morceaux favoris sur YouTube se retrouveront sur Spotify, sauf si celui-ci ne reconnait pas les chansons.